KARATE GRENOBLE HOCHE

& SELF DEFENSE

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KARATE GRENOBLE HOCHE

& SELF DEFENSE

Contes

Voici une sélection de quelques contes Japonais…

Le destin plus fort que l'homme

Un grand général, du nom de Nobunaga, avait pris la décision d’attaquer l’ennemi, bien que ses troupes fussent largement inférieures en nombre. Lui-même était sûr de vaincre, mais ses hommes, eux, n’y croyaient pas beaucoup. En chemin, Le général s’arrêta devant un sanctuaire Shinto et déclara à ses guerriers:
« Je vais me recueillir et demander l’aide des Kamis. Ensuite, je jetterai une pièce. Si c’est face, nous vaincrons, mais si c’est pile nous perdrons. Nous sommes entre les mains du destin. »
S’étant recueilli quelques instants, Nobunaga sortit du temple et jeta une pièce. Ce fut face. Le moral des troupes se regonfla à bloc. Les guerriers, fermement convaincus d’être victorieux, combattirent avec une si extraordinaire intrépidité qu’il gagnèrent rapidement la bataille. Après la victoire, l’aide de camp du général lui dit:
-« Personne ne peut donc changer le cours du Destin. Cette victoire inespérée en est une nouvelle preuve. »
-« Qui sait? » répondit Nobunaga en lui montrant une pièce…. truquée, qui avait deux cotés face !

Trois mouches

Dans une auberge isolée, un samouraï est installé, seul à une table. Malgré trois mouches qui tournent autour de lui, il reste d’un calme surprennent. Trois rônins entrent à leur tour dans l’auberge. Ils remarquent aussitôt avec envie la magnifique paire de sabre que porte l’homme isolé. Surent de leur coup, trois contre un, ils s’assoient à une table voisine et mettent tout en oeuvre pour provoquer le samouraï. Celui-ci reste imperturbable, comme s’il n’avait même pas remarqué la présence des trois rônins. Loin de se décourager, les rônins se font de plus en plus railleurs. Tout à coup, en trois rapides gestes, le samouraï attrape les trois mouches qui tournaient autour de lui, et ce, avec les baguettes qu’il tenait à la main. Puis calmement, il repose les baguettes, parfaitement indifférent au trouble qu’Il venait de provoquer parmi les rônins. En effet, non seulement ceux-ci s’étaient tus, mais pris de panique, ils n »avaient pas tardé à s’enfuir » Ils venaient de comprendre à temps qu’ils s’étaient attaqués à l’homme d’une maîtrise redoutable. Plus tard, ils finirent pas appendre, avec effrois, que celui qui les avait si habilement découragés était le fameux Miyamoto Musashi.

Les portes de l'enfer et du paradis

Un samouraï se présenta devant le maître Zen Hakuin et lui demanda:

-« Y a t-il réellement un paradis et un enfer? »
-« Qui es tu ? » demanda le maître
-« Je suis samouraï… »
-« Toi, un guerrier ! s’exclama Hakin. mais regarde-toi. Quel seigneur voudrait t’avoir à son service ? Tu a l’air d’un mendiant. »

La colère s’empara du samouraï. Il saisit son sabre et le dégaina. Hakuin poursuivit:
-« Ah bon, tu as même un sabre !? Mais tu es sûrement trop maladroit pour me couper la tête. »
Hors de lui, le samouraï leva son sabre, prêt a frapper le maître. A ce moment celui-ci dit:

-« Ici s’ouvrent les portes de l’enfer. »
Surpris par la tranquille assurance du moine, le samouraï rengaina et s’inclina.
-« Ici s’ouvrent les portes du paradis », lui dit alors le maître.

Cette célèbre parabole illustre la vanité des spéculations intellectuelles et la priorité de la lutte contre la douleur. (extrait condensé)

La parabole des aveugles et de l'éléphant

Il y avait jadis un roi nommé Face de Miroir, qui réunit une fois des aveugles de naissance et leur dis:  » Ô aveugles de naissance, connaissez-vous les éléphants? » Il répondirent; « Ô grand roi, nous ne les connaissons pas, nous n’en avons aucune notion. » Le roi leur dit encore: « Désirez-vous connaître leur forme? »-« Nous désirons certes la connaître ». Aussitôt, le roi ordonna à ses serviteurs d’amener un éléphant et aux aveugles de toucher eux-mêmes l’animal avec leurs mains. Parmi ceux-ci, certains en tâtant l’éléphant, prirent la trompe et le roi leur dit: « Ceci est l’éléphant. » Les autres, en tâtant l’éléphant, saisirent soit l’oreille, soit les défense, soit la tête, soit le dos, soit le flanc, soit la cuisse, soit la queue etc..
À tous, le roi dit: « Ceci est l’éléphant. » Alors le roi Face de Miroir fit écarter l’éléphant et demanda aux aveugles: » De quelle nature est l’éléphant? » Les aveugles qui avaient prit la trompe dirent: »L’éléphant est semblable à un timon courbé. » Ceux qui avaient pris l’oreille dirent: »L’éléphant est semblable à un van. » Ceux qui avaient pris une défense dirent: »L’éléphant est semblable à un pilon. » Ceux qui avaient pris la tête dirent: « L’éléphant est semblable à un chaudron. » Ceux qui avaient pris le dos dirent: « L’éléphant est semblable à un monticule. » Ceux qui avaient pris le flanc dirent: « L’éléphant est semblable à un mur. » Ceux qui avaient pris la cuisse dirent: « L’éléphant est semblable à un arbre. » Ceux qui avaient pris la queue dirent: « L’éléphant est semblable à une corde. » Ils s’accusèrent tous mutuellement d’avoir tort. Les uns disaient: « C’est ainsi. » Les autres répliquaient: « Non, ce n’est pas ainsi. » Au lieu de s’apaiser, leur discussion devint une querelle. Quand le roi vit cela, il ne put s’empêcher de rire, puis il prononça cette stance: « Les aveugles ici réunis se disputent et se querellent. Le corps de l’éléphant est naturellement unique, ce sont les perceptions différentes qui on produit ces erreurs divergentes. »

Le Bouddha dit: « Ô moines, il en est de même des doctrines diverses des hétérodoxes. Ils ne connaissent ni la vérité de la douleur, ni la vérité de l’origine, ni la vérité de la cessation, ni la vérité de la Voie. Chacun d’eux produit une opinion différente de celles des autres et ils se critiquent mutuellement. Chacun prétend avoir raison et cela fait naître les disputes et les querelles. […]

André Bareau, En suivant Bouddha
Philippe Lebaud, Paris, 1985

Urachimataro

À l’époque d’Edo, là où les samouraïs, les princesses vivaient, il y avait un jeune garçon qui fit face à son destin et pris en charge, sans le savoir, celui d’un autre.

Yoritomo, un jeune élève du grand sage Kiyô allait tout les jours au temple Shinto pour s’y faire enseigner la sagesse Shintoïste. À la rentré des débuts de classes, Yoritomo vit un jeune nouveau parmi tant d’autres mais n’y porta aucune attention. Lui et sa soeur fréquentaient la même école, mais sa soeur, plus jeune était en Nidan tandis que lui en Shodan. Les deux enfants était passionnés par la matière et récoltaient de très bonne notes. Deux semaines passèrent et durant un séance de méditation, Yoritomo remarqua le jeune du début de la rentré toujours seul mais une fois de plus n’y porta pas attention. Yoritomo, lui avait plusieurs amis par-ci, par-là. À la fin des cours de la journée, il rentra avec sa soeur à la maison, pris un bol de riz, puis alla méditer dans sa chambre sombre, seul. Seulement les petites lanternes de soie rouge pâle, dégradée par un soleil chaud et perçant, faisaient des petits reflets dorés sur les deux extrémités de la petite chambre de Yori. Pendant sa longue méditation, il ne put s’empêcher de penser au jeune nouveau, seul et inconnu de tout le monde. Aucun amis, Yori pensa. Il décida donc d’aller lui parler demain avant les cours.
Le matin venu, le soleil timide et froid était recouvert par une couche de soie grise dans un ciel sombre et apaisant. Arrivé au temple, sa soeur le laissa pour aller voir ses propres amies, puis Yoritomo fit de même. Les cinq amis se parlèrent durant une bonne minutes tandis que Yori cherchait pour l’inconnu. Soudainement, un jeune cria
– » Haaa, l’inconnu est de retour, il va nous ensorceler! »
Voyant que les jeunes n’aimaient pas cet inconnu, Yorimoto laissa tomber toute tentatives d’approchement sur le garçon.

Les mois passèrent, et Yori sût enfin le nom du jeune inconnu. Urachimataro.
Sachant fort bien qu’il était oublié par les autres, Yori, lui ne le lâchait pas de vue. Et pris conscience que depuis quelques jours passés, Urachimataro apportait une longue boîte en bois jaune à chaque fois que les cours étaient finis. Le jour décisif arriva, Yoritomo se décida, et loin de ses amis, il approcha le jeune Ura.
-« Je sais que ça ne doit pas être facile à vivre pour toi, mais je suis de ton coté. » dit Yori.
Surpris et calme, Urachimataro ne répondit pas. Songeur, Yoritomo s’en alla et décida de lui envoyer une lettre chez lui après l’école. Le matin suivant, Urachimataro approcha Yoritomo à la sortie d’un cour et lui dit:
-« Merci, cette lettre je vais la garder. Si mon ami tu veux être, parfait, j’accepte. »
-« Très bien. » dit Yori en sachant qu’être son ami n’était pas son but premier, mais que de le connaître. Mais le destin fit que les deux étrangers devinrent les meilleurs amis, malgré les opposition des autres. Yori en appris beaucoup sur Ura. Surtout sur le plan des connaissance et de la spiritualité. Mais il restait un coté inconnu d’Ura, mais Yori n’insista jamais pour en savoir plus. Yoritomo se rendis compte qu’Ura n’était pas si mal que ça.
-« Dis-moi Ura, pourquoi avant tu apportait une boîte de bois jaune chez toi après les cours, et que maintenant, bien, il n’y a plus rien sur toi? »demanda Yori
-« Le temps décide par lui même, plu tard est la réponse. » répondit Urachimataro. Sur ce, Yoritomo se tut et repensa à cette réponse.
Trois années passèrent et les deux jeunes garçons devinrent deux beaux jeunes hommes. La fin des 10 années au temple s’achevèrent et les adeptes finissant devaient faire un discours sur leur 10 années d’éducation Shinto. Le soir arrivé, le discours devait commencé tôt car une tempête s’approchait du village. Tout les villageois pouvaient assister à cette dernière graduation, bien sûre, aucun ne refusa. Yoritomo fut le premier à passer ainsi de suite. Le dernier était Urachimataro. Arrivé sur la petite scène de bambou sec, surmonté de quelque centimètre, Ura sortit une feuille et commença à lire son discours:
-« L’achèvement de notre éducation, quel beau jour, et ce jour j’en profite pour remercier mon Grand sage Siyô, mes parents puis mon ami Yoritomo. » Yori souriais tendis qu’Ura continuait
-« J’était nouveau dans le village, à ce temple, où je connaissait personne je fut très triste de ma solitude, que je pensait, avant, pouvoir surmonter. Mon père, un pêcheur, est mort le jour de mon inscription au temple. Descendant d’une famille samouraï exilé, mon seul héritage était un sabre dans une boîte de bois jaune. Un jour ma vie à mal tournée, ma mère décéda de la peste. Je me suis trouvé seul, sans parents, sans amis, seulement un sabre dans une boîte de bois jaune. J’ai apporté, durant plusieurs jours cette boîte après mes cours. Oui l’idée du suicide rôdait dans mes pensées. C’était la seul décision honorable pour ma famille. Le jour de ma tentative, arrivé à ma maison, j’ai trouvé une lettre, de papier, mouillé par la pluie. Je l’ai pris, et je l’ai lu. « Depuis se temps, ma vie a pris une autre tournure. Je vais mieux maintenant, et je vis avec mes oncles depuis 2 années. Cette lettre, un destin, pourquoi une simple lettre de cents mots sur un papier jaune, bourré de fautes d’orthographe, allait-elle changer ma destinée? »

L’assemblé était figée, et Yoritomo était brusquement fixe. Quelques larmes frôlait sa joue rosée par la froideur du vent qui se levait. Urachimataro regardis Yoritomo, en suivant d’un geste de salut, en penchant le buste, les mains rejoint sur son coeur.

Seikyo (la mort)

Aiko, le bras droit de l’empereur Go-Toba Tenno arriva en courant vers celui-ci et dit:

-« Ô Grand empereur Tenno, je dois vous demander de partir très loin de Kobe pour ainsi aller à Kyoto. »
-« Et pourquoi mon cher ami? » Repris l’empereur.
Aiko enchaîna:
-« Je dois m’en aller d’ici le plus vite possible. J’ai croisé Seikyo (la mort) sous une longue robe noire au marché près du temple Zen. »
-« Seikyo? Avez-vous réellement vu Seikyo? » demanda le souverain.
-« Oui, oui. Aussi vrai que je vous parle en ce moment. »
-« Bien. Que vous a-t-elle dit? »
-« Rien. Elle m’a seulement regardée d’un air menaçant en me tenant l’épaule gauche. »

Convaincu du récit de son bras droit qu’il avait tant besoin, l’empereur l’approuva et le laissa partir. Le matin venu, Aiko parti pour Kyoto aussi rapidement qu’un yachoo (oiseau sauvage).
Intrigué à l’idée de sont récit effroyable et cruel, Go-Toba décida d’aller rencontrer Seikyo elle-même pour de plus amples explications.

Arrivé au marché près du temple des moines Zen, le souverain, déguisé, aperçu Seikyo avec sa longue tunique noire entourant un corps squelettique en train de toucher l’épaule d’une vieille femme faisant le marché avec son petit panier de bambou, l’empereur l’approcha calmement. Tenno lui toucha l’épaule et l’appela par son nom.

Seikyo, en reconnaissant le souverain, le salua discrètement puis l’écouta.

-« Dites moi. Un de mes bras droits, Aiko, m’a dit que vous lui aviez touché l’épaule hier matin, et l’avez regardé d’un air menaçant. Que signifie ces gestes. »
-« Bien, oui je lui ai touché l’épaule, mais je n’avais pas de mauvaises intentions. » répondit Seikyo.
-« Alors que signifie ces gestes? » rétorqua Tenno.
-« Et bien, je l’ai croisé sur le marché. Surpris de sa présence, je l’ai intercepté. »
-« Et pourquoi étiez-vous surpris de le voir ? » ajouta le souverain.
-« Bien j’ai été surpris car je devais le rencontrer ce soir à Kyoto. »

 

Les 47 ronins

Au XVIIIe siècle, le japon est sous la grande domination politique et militaires des Tokugawa, au titre de Shogun. L’empereur, n’est plus qu’un simple symbole religieux. Le Shogun de l’époque est Tokugawa Tsunayoshi. L’empereur vient d’envoyer à Edo, auprès de lui, trois ambassadeurs afin qu’il parlent en son nom. Afin de les recevoir comme ils le méritent, étant donné leur rang, on confia les préparatifs à 2 grand seigneurs de cette époque. L’un d’eux était Asano Naganori, un très riche seigneur, à qui fut confié la direction de la cérémonie. Il déclina l’offre en arguant son ignorance en matière d’étiquette de la cour. Après plusieurs pressions de la part des autres seigneurs, il accepta à la condition d’être aidé du maître de cérémonie officiel, Kira Yoshihisa

La coutume voulait que l’on offre un cadeau à un fonctionnaire lorsqu’on lui demandait un service. On conseilla donc à Asano de ne pas être avare envers le vieux courtisan. Mais Asano avait été élevé dans le principe conficuaniste et refusait de donner à un fonctionnaire de l’État plus de cadeau que son rang n’en méritait. C’était, selon lui, le devoir de Kira de lui donner les informations nécessaires. Malheureusement, Asano ne connaissait pas les usages d’Edo, ni la mentalité corrompue des grands de l’époque. Il ne donna qu’un présent symbolique à Kira. Celui-ci le prit très mal et se rendit indisponible pour Asano.
Lorsque les ambassadeurs arrivèrent à Edo, Asano réussit à se débrouiller pour ne pas perdre la face. Mais vint le moment où il faudrait qu’il fasse acte de présence devant les ambassadeurs. Il trouva Kira et lui demanda ce qu’il devait faire. Celui-ci lui dit qu’il aurait du s’occuper de cela bien avant et que maintenant il était trop tard. Il murmura en plus ce qui fut la goutte qui déborda du vase: une bonne médecine est toujours amère. Asano n’en revenait pas! Kira venait de l’insulter en public. Fou de rage, il dégaina son Wakisashi et donna, semble-t-il, un coup si subtile que Kira ne le sentit même pas et le hakama de ce dernier tomba sur le sol.

Kira cria pour qu’on lui viennent en aide, mais un autre coup de sabre lui fendit la bouche ouverte et des flots de sang vinrent étouffer son appel. On maîtrisa Asano et informa le Shogun de la situation. Tirer la lame dans le palais du Shogun était déjà un acte grave et répandre le sang l’était encore plus. Asano fut invité par le Shogun à se faire seppuku au coucher du soleil. Ses terres furent confisquées et ses vassaux dispersés ou presque…

Des 2000 vassaux d’Asano, seulement 47 décidèrent de rester fidèle à leur maître et de le venger de l’affront que lui avait fait Kira, ce qui est leur devoir le plus sacré. Il faut souligner que les samouraïs qui n’avaient plus de maître s’appelaient des ronins. Pendant deux années, les 47 ronins, fidèles à leurs quête, préparèrent une attaque surprise pour une vengeance certaine. Alors que tout le monde les avait oublié, les ronins surgirent devant la maison de Kira à Edo et passèrent à l’attaque en vrais samouraïs: Le sabre à la main et la rage au coeur. Les voisins de Kira furent réveillé par l’attaque, mais personne ne s’en mêla: Il savaient ce qui se passait et c’était un affaire d’honneur. Les serviteurs de Kira furent presque tous massacrés dans des vagues de sang. Les ronins cherchèrent Kira partout dans la maison avant de le trouver caché sous une pile de vêtements sales. Il sommèrent Kira de se faire seppuku comme un homme d’honneur. Devant le refus de se dernier, Oishi le capitaine, le décapita. Les 46 ronins restant (l’un d’eux mort durant la bataille) allèrent déposer la tête de Kira sur la tombe d’Asano pour lui rendre hommage et ainsi venger leur maître. Ensuite, ils se constituèrent prisonniers et se rendirent au autorités d’Edo. Leur acte fut admiré de tous et le peuple d’Edo les considéra comme de vrais héros. Même le Shogun admira leur courage. Le conseil Shogunal se demande donc ce qu’il fallait faire d’eux. On ne pouvait pas les condamné à mort comme des chiens, car il avaient fait ce qu’on leur avait enseigné depuis l’enfance. On ne pouvait les laisser libre, car cela pourrait entraîner d’autres cas de possible vengeance. la décision tomba le 1er février 1703. Ils avaient vécu en samouraïs, ils allaient donc mourir comme tel dans la dignité et l’honneur. ils ont reçu l’ordre de se faire seppuku, geste qu’ils étaient tous prêt à accomplir depuis le début. Leur acte fut exemplaire.

Hakama: Pantalon court

Seppuku: Suicide rituel qui consiste à s’ouvir le bas du ventre,(bas du nombril) de la gauche vers la droite avec l’aide d’un shootoo et de sortir ses intestins. Rituel souvent pratiqué par les samouraïs pour maintenir l’honneur ancestral et familiale.